La Mairie de Saint-Brandan
La journée portes ouvertes de la nouvelle Mairie a eu lieu le 24 octobre 2015. De nombreux brandanais sont venus découvrir ce nouvel espace de travail spacieux, lumineux et très fonctionnel.
Elle a été construite à l'emplacement de l'ancienne Mairie qui avait été construite en 1957 sous la mandature de François LEROUX.
Elle a été construite à l'emplacement de l'ancienne Mairie qui avait été construite en 1957 sous la mandature de François LEROUX.
LE BOURG DE SAINT-BRANDAN À DIFFÉRENTES ÉPOQUES
En cliquant sur les liens ci-dessous vous pourrez comparer la vue aérienne de Saint-Brandan en 2015 (la Mairie actuelle n'y apparaît pas) et celles d'autres époques.
1) 2006-2010 / 2015
2) 2000-2005 / 2015
3) 1950-1965 / 2015 (la photo date d'avant 1957 date de construction de l'ancienne Mairie, elle n’apparaît pas sur la photo)
4) carte de Cassini (18ème siècle) / 2015
La carte de Cassini ou carte de l'Académie est la première carte topographique et géométrique établie à l'échelle du royaume de France dans son ensemble. Il serait plus approprié de parler de carte des Cassini, car elle a été dressée par la famille Cassini, principalement César-François Cassini (Cassini III) et son fils Jean-Dominique Cassini (Cassini IV) au 18ème siècle.
De plus vous pourrez voir en cliquant sur le lien ci-dessous le plan du bourg de Saint-Brandan en 1751 (conservé dans les archives de la commune).
L'église
Situé au cœur du bourg, cet édifice religieux a la forme d'une croix latine avec ailes du transept à pans coupés.
Dans la longère midi, on trouve une chapelle privative dédiée à la Sainte Vierge, une chapelle des fonts baptismaux, et un porche latéral fermé dans lequel se trouve un très vieux bénitier en granit.
À l'exception de la tour et du clocher qui ont été refaits en 1886, l'édifice actuel remonte au milieu du 18ème siècle.
Selon les archives paroissiales l'église aurait été inaugurée en 1753.
Près de l'église il y a "la roche aux viaux", nommée ainsi en raison de sa proximité du marché aux viaux (à l'emplacement de la salle des fêtes actuelle).
Cette pierre a servi probablement d'enclume à l'époque de l'âge de fer (qui s’étend de 800 avant notre ère à la fin du Ier siècle).
Cette thèse est due à la forme arrondie de la pierre et à des dessins anciens qui la confirment.
Les chapelles
Chapelle saint Eutrope
Sur la route reliant Quintin à Lanfains, au centre du village de Saint-Eutrope se trouve ce vieil édifice du 16ème siècle.
Bâtie sur un petit promontoire de granit, sans doute vers 1569 (date du mariage de Claudine de Robien et du chevalier de Gautron), elle a entièrement été restaurée entre 1978 et 1988, grâce à la municipalité et à l'association "les Amis de la Chapelle Saint-Eutrope" créée en 1977.
La chapelle servait de chapelle funéraire à la famille de Robien. Les voussures intérieures et extérieures de la fenêtre du chevet portent la maxime :
"QUOI Q L'ON DIE DE ROBIANNE, ANCORE"
Que l'on pourrait traduire par
"QUOI QUE L'ON DISE, JE SUIS ENCORE DE ROBIEN"
Ceci est certainement une allusion au mariage de Claudine de Robien avec le chevalier de Gautron, si bien que le nom de Robien se serait transmis probablement par l'épouse, faute d'un fils dans la famille de Robien.
La chapelle fut vendu comme bien national le 11 frimaire de l'an neuf (2 décembre 1800) au citoyen Le Cardinal, agissant pour le compte de Françoise Digaultray de Quintin qui en fit cadeau à la paroisse de Saint-Brandan, peu avant sa mort en 1820.
La chapelle est devenue propriété communale en 1905 par la loi de séparation de l'Église et de l'État.
La chapelle de Carestiemble
Il y avait une chapelle sous l'invocation de Saint Étienne.
On en voyait encore les ruines jusqu'en 1839 où elle fût démolie et ses pierres servirent à la restauration de la tour de l’église Saint-Brandan. Une croix, située à côté de cette chapelle, en rappelle l'emplacement.
Chapelle Saint-Germain à Lanvia
La Chapelle actuelle, d'un style très sobre, a été reconstruite en 1897, par les soins de l'Abbé Armand NAU, Recteur, lui-même soutenu par le Maire, Guillaume LIMON.
Elle remplaçait une chapelle très ancienne qui pourrait remonter au 13ème siècle vu le style du grand vitrail qui se trouvait derrière l'autel.
Le magnifique retable de style baroque et les statues, achetés par M. Louis BOTREL en 1822, proviennent de la chapelle Saint Fiacre de Quintin.
- Le retable et la Vierge à l'Enfant sont du 18ème
- Saint-Germain et Saint Maudez du 17ème.
La chapelle de Quinfert
Il y avait sur la route qui va du Bourg au chemin de Quintin, une chapelle. Celle-ci était sous le patronage de Saint Nicodème dont la statue a été apportée dans l'église de Saint-Brandan.
Cette chapelle a été achetée , le 21 frimaire de l'an IX (12 décembre 1800), par Augustin-Marie LE CARDINAL, comme bien national.
La chapelle de la Ville-Fréhour (Fréhoul aujourd'hui)
Elle était attenante au manoir de la famille BOTHEREL, LE NEPVOU, qui en aurait fait l'acquisition en 1642.
Aujourd'hui le manoir et la chapelle ont disparu (le manoir actuel aurait possiblement été construit avec les ruines de ces deux édifices)
La chapelle de Cardry
Elle existait encore au milieu du 18ème siècle. Seule une croix déplacée plusieurs fois, en rappelle l'existence.
La chapelle du Pont-Ruellan
Le Fond-Ruellan ou Pont-Ruellan, petite maison de moines dit "moines rouges", avait une chapelle dont on voit encore les restes. Le patron en aurait été J. FAUSTIN.
Elle disparut quand les communautés d'hommes furent supprimées et que leurs bien furent vendues par le gouvernement révolutionnaire.
Les archives de cette chapelle aurait été emportées, au moment de la révolution, par les moines fuyant en Angleterre.
Les manoirs
Des manoirs existants encore ou détruits révèlent l'influence de quelques familles sur l'ensemble de la commune.
Les manoirs existants
Les calvaires
Le passé religieux d'une commune se vérifie souvent à travers les monuments élevés ici et là.
On peut penser qu'à Saint-Brandan la foi était très présente car il existe encore 17 calvaires sur la commune.
Ces calvaires ont été érigés pour différente raison:
- des raisons familiales comme par exemple la croix de la Ville-Falaise édifiée sur un terrain privé à la demande de Victoire COTILLARD en 1917 à la mémoire de son mari. C'est également vrai pour la croix du Fretay, une croix en bois aujourd'hui tombée, fabriquée à l'occasion d'un jubilé.
- des raisons paroissiales comme la récente croix du carrefour de Quénébro, érigée en 1950 (croix Gouédard). La plus ancienne est celle qui s'élève à l'entrée du cimetière (la croix du Jubilé) qui pourrait dater de 1800 environ (un cœur à l'intersection des bras de la croix pourrait rappeler le martyr des victimes de la terreur).
- des raisons de foi, aux intersections des routes ou chemins.
- la croix de la Jaloussée ( autrefois Jaroussaie) 1777
- la croix de Carestiemble, restaurée en 1985 construite à l'emplacement de la chapelle détruite (1750)
- la croix de la Hutte 1755
- la croix de la Ville Houart édifiée à l'aube de la révolution en 1781. (elle se trouve aujourd'hui à 60 mètres de la route de la Ville Houart mais elle marquait le carrefour de l'ancienne route.
- la croix de Bel-Air édifiée au début du 20ème siecle (un des buts de la procession des rogations.
- la croix du carrefour de carestiemble
- la croix de Cardrix (croix mérovingienne)
- la croix de Saint Eutrope 1824
- la croix de la vallée début 20ème
- la croix de Caron 1910
- la croix du Hino début 20ème
- la croix de la Ville Haffray début 20ème
- la croix de Lanvia
Le manoir du Frétay 18ème
Le manoir actuel est du 18ème siècle mais il est probable qu'il ait été construit à la place d'un très vieux manoir, propriété des familles ESMEZ, PERRIO et du BOUILLY (tué en 1794 au Pont-Camet).
Le manoir de Saint-Bedan 1610
Succesivement propriété des familles LE GASCOING et URVOY, le Docteur LAENNEC (inventuer du stétoscope) y séjourna.
Le restauration du manoir a commencé le 4 janvier 1999, la mise hors d'eau a été faite en juin 2001 et la mise hors d'air en juillet 2006.
Vous pourrez voir, en cliquant sur le lien ci-dessous, l'ampleur du travail réalisé.
La restauration a été financée par la commune, par l'État (DRAC, Conseil Départemental et Conseil Général) et par de l'autofinancement réalisée par l'association "Patrimoine de Saint-Brandan" créée en 1996.
Pour plus d'informations consultez la page de l'association ICI
Le manoir de la Villeneuve 18ème
Superbe manoir situé aux portes de Quintin.
Le manoir du pont ruellan 17ème
Construit par la famille de LA RIVIÈRE, devenu prieuré monastique au 18ème, il n'en reste plus aujourd'hui qu'une petite partie.Sur la porte d'entrée on peut encore voir les armes des de LA RIVIÈRE (d'Azur à la croix engreslée d'or).
Le manoir de la Porte-es-Gautron (Lanvia - propriété Poilpot)
Constitué d'un maison à étage avec toiture à quatre pans et d'une maison basse, cet ensemble aurait appartenu à la famille LE CONIAC.
Il conserve une cheminée remarquable sur le tablier de laquelle on peut voir le blason sculpté dans la pierre.
Celui-ci est un blason coupé avec au premier, partie d'un aigle (LE CONIAC) et d'une fasce treillissée (LE BRAS), et au deuxième, un croissant (DOCOS).
Le manoir de Carbriens 1670
Restauré récemment c'est un magnifique manoir entouré d'un mur de pierre, tout en granit du pays.
Un four à pain est encastré à l'entré dans le mur d'enceinte. Il possède également un magnifique escalier en colimaçon.
Un tunnel relierai ce manoir avec celui de Castello, mais personne n'a encore pu le prouver.
Le manoir des Garennes en Saint-Brandan puis en Quintin 1837
Fief de la famille MAZURIÉ des GARENNES.
Huitième d'une famille de 13 enfants, François MAZURIE DE KEROUALIN (1806 - 1899) prit le nom "DES GARENNES" car ces derniers qui faisaient partie de la même famille n'avaient pas de postérité.
Étant donné que les DE KEROUALIN et les DES GARENNES ont le même ancêtre commun, Pierre MAZURIE DE KEROUALIN (1759 -1839), ils ont les mêmes armes "d'azur à la tour ruinée d'argent ouverte de sable".
Le manoir de Saint-Eutrope
L'histoire du manoir de Saint-Eutrope est liée à celle de la famille de Robien qui avait déjà fait construire la chapelle Saint-Eutrope à proximité. Construit à la fin du XVe ou début du XVIe siècle ce manoir est le plus ancien de la commune. Dans sa monographie intitulée "Si Saint-Brandan m'était conté", parue en 1989, l'abbé Jean Rétif a omis d'inventorier cet édifice. Ce manoir orienté au sud et de hauteur dissymétrique de part et d'autre d'une tourelle est le témoin d'une partie de l'histoire de la commune. Il portait anciennement le nom de "La Ville-au-Vé", appellation dont l'usage a disparu depuis plus de 150 ans.
Le château de Grénieux 1882
Demeure récente, elle a été construite sur le sruines de l'ancien château qui datait du milieu du 16ème siècle.
Il a appartenu à la famille LE FROTTERjusqu'en 1830, puis à M. de KERIGAN (époux de Honorine LE FROTTER) puis M. DE CALLAC (époux d'une fille KERIGAN). En 1925 Mme de la GRANDIERE (veuve de M. DE CALLAC) dirige le domaine qu'elle lèguera à sa mort au marquis de BRUC.
Le Rillan: haut lieu de l'époque gallo-romaine
Une découverte importante en 1716
Le dieu au Maillet ou Dieu Sucellus
C'est au cours d'importants terrassements effectués afin d'élargir la route qui mène de QUINTIN à Saint-Brieuc que cette statue sans tête (acéphale) fut trouvée. Cette statue en pierre fut longtemps considérée comme la statue d'hercule, jusqu'au regain d'intérêt apporté par les archéologues au cours du siècle dernier. Ils ont alors penché pour la thèse du Dieu gaulois Sucellus.
Après une restauration et une exposition au musée de Bretagne à Rennes en 1971, la statue a été fixée dans son site naturel au Rillan près de l'entrée de la cour d'une maison.
Un site archéologique exceptionnel
Selon les spécialistes, le site archéologique du Rillan offre des richesses qui n'ont certainement pas été toutes mises à jour.
C'est surtout à l'occasion de travaux sur la route qui va de Quintin à Saint-Brieuc que l'on a découvert des vestiges anciens :
- Monnaies en grand nombre dont certaines du haut empire (fin 2ème début 3ème siècle) en 1820
- Substructions romaines (construction servant de base à une autre construction), statuettes, tessons et céramique sigillée (La céramique sigillée est une céramique fine destinée au service à table caractéristique de l'Antiquité romaine) en 1842
- Tessons, statuettes, fours, puits avec margelle... entre 1965 et 1970.
Des vestiges de l'Âge de Bronze Moyen (vers 1500)
Près d'un "tumulus" un dépôt de huit épées fut découvert (vers 1940). Ces armes étaient plus ou moins brisées.
D'autres de l'époque Gallo-Romaine ( 121 avant JC jusqu'à 476 après JC)
Une boite à sceaux du "cursus publicus" a été découverte lors de fouille archéologique sur la petite agglomération routière du Rillan.
Pierre tombale de 1756
Au presbytère (en 2014)
Lors de travaux dans les jardins du presbytère une pierre tombale fut découverte. Elle vient de l'église de Saint-Brandan et a été utilisé pour boucher une fosse.
Il s'agit de la pierre tombale de "l'Escuyer Annibal Marin URVOY, Fils légitime de Messire Gilles URVOY et de Dame Olyve Claude de KEREMAR sa compagne, Seigneur et Dame de Saint Bedan", décédé en février 1753.
Cette pierre est visible au manoir de Saint-Bedan.
Vous pouvez voir ci-dessous la pierre tombale et quelques documents concernant Annibal Marin URVOY.
Les monuments aux morts
Il y a deux monuments aux morts à Saint-Brandan
Dans l'église
Comme il est relaté dans le registre du conseil de fabrique 1921 / 1955, il a été fait proposition par Monsieur le Recteur, en octobre 1917, de se contenter d'une simple plaque de marbre pour les Soldats "Morts pour Patrie" et de commander le monument convenable à un artiste convenable : M. FOULONNEAU.
D'après les recherches de Mme JOUNO, M. FOULONNEAU est décédé au mois de novembre 1917 et c'est son fils François René qui se chargea de cette sculpture à son retour de la guerre.
Vous pourrez voir ici sa feuille de démobilisation.
Il est donc décidé en octobre 1920 que le monument sera placé dans l'église , dans un endroit tout près de la chaire, emplacement bien éclairé, où le nom des Soldats se liront très bien sur les plaques de marbre.
Il sera déplacé dans les années 1960 et se trouve désormais dans l'abside dédiée à la Vierge Marie.
Le second situé près de l'église
Celui-ci a été réalisé par M. Auguste LÉON sculpteur à Guingamp pour la somme de 10 900 Francs (devis approuvé le 8 juillet 1924)
La réception du monument aux Morts a eu lieu le 25 janvier 1925 à 14h00.
La guerre 39-45
On ne peut évoquer les Morts pour la France de 1914-1918 sans citer ceux qui ont donné leur vie lors de la seconde guerre mondiale. On peut lire sur les deux monuments les noms des sept Brandanais morts au champ d'honneur.
Les recherches sur la personnalité et le lieu de décès de ces soldats ont été réalisés par Annick JOUNO avec la collaboration de l’association du Patrimoine présidée par Hervé QUINIO.
« Lors de la préparation des commémorations de la guerre 14-18 nous avons été contactés par l’association des anciens combattants pour donner une identité et une histoire aux poilus inscrit sur le monument de Saint Brandan. Nous avons souhaité poursuivre ce travail avec les 7 noms représentant les soldats de la guerre 39-45. » Nous raconte-t-il.
Il s'agit de :
- Albert Allano, marin, mort en 1940
- Cyprien Burlot, marin, mort au Gabon, en 1940
- Jean-Louis Auffray, marin
- Julien Launay, marin mort en Allemagne en 1943
- Théodore Bernard, prisonnier en Allemagne et mort en 1941
- Pierre Chambrin en STO (service de travail obligatoire) en Allemagne et mort en 1945
- Jean-Brice Michel, interprète dans l’armée américaine, mort en 1944 à Plérin
« C’est beaucoup de travail, mais c’est très instructif et les découvertes sont parfois surprenantes, comme la signature de l’Armistice, qui à eu lieu le 7 mai à 2 h 41 dans la ville de Reims, et sur la demande de Staline, une nouvelle signature à eu lieu à Berlin à 23 h 01 dans la nuit du 8 au 9 mai. » nous précis M. QUINIO.
Pour mettre à l’honneur ses enfants, la municipalité a organisé une exposition dans la salle Brendan le vendredi 8 mai 2015. Des bénévoles étaient disponibles pour expliquer les panneaux et raconter l’histoire de ces soldats.Il ne faut pas oublier non plus :
- Pierre Marie RAULET, tué à l'ennemi, le 21/06/1940 à Gérardmer dans les Vosges (88)
Ce soldat né à Saint-Brandan a été inhumé à Colmar dans le Haut Rhin (68), dans la Nécropole nationale.
Son nom est gravé sur le monument aux morts d'Evron (53).
RESSOURCES DOCUMENTAIRES
Cette page a été réalisée en partie grâce à deux ouvrages :
- celui de Jean LE RETIF recteur de l'église de Saint-Brandan, "Si Saint-Brandan m'était conté"
- celui réalisé à l'initiative
- de M. Hervé QUINIO, Président de l'association patrimoine de Saint-Brandan
- de M. Francis GALAIS, Président des Anciens d'Algérie F.N.A.C.A de Saint-Brandan
- grâce aux recherches effectuées par Mme Annick JOUNO et Mme Marie-Paule MICHEL
le 11 Novembre 2009.
Vous trouverez ci-dessous un lien vers la copie de ces deux ouvrages.
PS : Les prénoms, et moins souvent les noms peuvent ne pas être identiques selon si les archives proviennent des registres de l'église ou de ceux de l'État Civil. Ceci peut expliquer les différences qu'il peut y avoir dans certains documents.